Après 5 jours de projections et de rencontres le Festival du film de Sarlat, qui fêtait ses 30 ans, a dévoilé son palmarès ce samedi 13 novembre avant la projection de son film de clôture COMPAGNONS de François Favrat.
PALMARES COMPLET



Salamandre d’or du meilleur film – prix du public : ADIEU MONSIEUR HAFMANN de Fred Cavayé
Prix des lycéens : LE TEST d’Emmanuel Poulain-Arnaud
Prix du jury jeune : ANIMAL de Cyril Dion
Prix d’interprétation décernés par le jury jeune : Sara Giraudeau dans ADIEU MONSIEUR HAFFMANN de Fred Cavayé et Anamaria Vartolomei dans L’ÉVÉNEMENT d’Audrey Diwan
Prix du jury courts métrages : DES CHOSES EN COMMUN d’Ann Sirot et Raphaël Balboni
Prix du meilleur scénario des petites séquences : L’OISEAU QUE CHACUN DESIRE du lycée Jean Monnet à Franconville
Prix des meilleurs films lycéens :
1er prix : CHÈRE PSY du lycée Honoré de Balzac à Paris
2em prix : FEMMES D’HIER ET D’AUJOURD’HUI du lycée La Source à Meudon
3em prix : COMÉDIES du lycée Jean Monnet à Franconville
BIENTÔT EN INTERVIEW CINECRANS…
Je vous proposerai d’ici quelques jours, sur Cin’Ecrans, les premières interviews vidéo réalisées au cours de cette 30eme édition du Festival du film de Sarlat pour accompagner les sorties en salles de certains films :
Mélanie Thierry & Lyes Salem (LA VRAIE FAMILLE), Cyril Dion (ANIMAL), Jean Libon & Yves Hinant (POULET FRITES), Nessim Chikhaoui & Lucie Charles-Alfred (PLACES), Laurent Cantet & Rabah Naït Oufella (ARTHUR RAMBO), François Desagnat (ZAÏ ZAÏ ZAÏ ZAÏ), Constance Meyer (ROBUSTE), Fred Cavayé (ADIEU MONSIEUR HAFMANN), Laura Wandel (UN MONDE), Emmanuel Poulain-Arnaud, Matteo Perez & Chloé Barkoff Gaillard (LE TEST)
Et de 3 ! Le Festival du film de demain 2024 se dévoile…
Présidée par Lambert Wilson, la 3eme édition du Festival qui avait réuni près de 7000 spectateurs l’an passé se déroulera à Vierzon du 30 mai au 2 juin prochain. Programme complet à découvrir ci-dessous
Jeunesse, mon amour – Les copains d’abord !
Ce 1er long-métrage de Léo Fontaine porté par sa belle troupe de comédien.ne.s, résonne comme une forme d’adieu à l’adolescence. Ni triste, ni gaie, mais forcément mélancolique…
État limite… État d’urgence !
Ne laissez surtout pas passer ce remarquable documentaire, portrait d’un jeune psychiatre, humaniste, dévoué et engagé qui s’épuise en tentant d’aider ses patients au cœur d’un système hospitalier qui s’effondre…



