- Nadia Butterfly -
NADIA BUTTERFLY de Pascal Plante avec Katerine Savard, Ariane Mainville, Hilary Caldwell
Drame – 2021 – 1H47
Sortie en salles le 4 août 2021
A 23 ans, Nadia prend la décision controversée de se retirer de la natation professionnelle et de s’affranchir d’une vie de sacrifices. Après une dernière course, les excès cachés du Village olympique offriront à Nadia un premier souffle de liberté. Mais à mesure qu’elle plonge dans l’inconnu, les doutes surgissent : qui est-elle réellement ?
NADIA BUTTERFLY a fait partie de la sélection CANNES 2020

3 bonnes raisons de voir ce film
1/ Étrange sensation que celle de voir l’action de ce film tourné en 2019, se dérouler pendant les Jeux Olympiques de Tokyo 2020 qui ont finalement eu lieu en 2021…  
Mais au final, peu importe cet aspect très anecdotique du film dont l’ambition n’est pas de montrer ou célébrer la victoire mais d’évoquer avec beaucoup de justesse (le réalisateur a lui-même été nageur de haut niveau) la fin de carrière, volontaire, d’une grande nageuse.
2/ Si NADIA BUTTERFLY est bel et bien un film de fiction, son impact tient en grande partie à sa force quasi documentaire et de l’originalité de sa construction. Le film de Pascal Plante nous plonge de l’autre côté du miroir du sport de haut niveau, sans jamais occulter l’envers de la médaille : l’égoïsme de celui ou celle qui touche à l’excellence et la déception de celui qui remporte une récompense en deçà de ses espérances.
3/ Pour sa grande qualité technique. Le soin apporté au son et à l’image (on se demande vraiment comment certaines séquences ont été filmées) est assez bluffant pour que le spectateur y porte la même attention que le réalisateur et son équipe technique
Un beau jour, ou peut-être Une nuit…
Ce 3em long métrage pour le cinéma d’Alex Lutz est sans aucun doute le film le plus intimiste de son auteur, une œuvre très personnelle, originale et généreuse qui tisse un lien presque charnel entre ses spectateurs et son duo d’amants.
Cléo, Melvil et moi… Le journal intime d’Arnaud Viard
4è long-métrage d’Arnaud Viard, Cléo, Melvil et moi est le récit du quotidien d’un homme ordinaire plongé dans une situation « extra ordinaire ». L’acteur-réalisateur nous livre un film intime, fragile et introspectif au charme certain…
A la recherche du film perdu… Au cimetière de la pellicule
Au cours de sa quête prétexte pour retrouver un film disparu, entre la Guinée et la France, Thierno Souleymane Diallo nous raconte combien il est important de préserver les images et leurs lieux collectifs de diffusion. Une belle déclaration d’amour au cinéma….
 
				 
												 
					
				 
					
				 
					
				 
					
				


