Après 3 éditions aux succès grandissants ( 12 000 spectateur-ice.s et 170 artistes réuni.e.s l’an passé) on pouvait aisément imaginer que l’équipe fondatrice du Festival Sœurs Jumelles allait la jouer tranquille pour ce cru 2024.
C’est bien mal connaître Julie Gayet, véritable porte-parole de l’événement, toujours prête à soulever des montagnes, comme le soulignait fort justement Éric Debegue, complice des premiers jours du festival.
L’actrice qui est sur tous les fronts artistiques et organisationnels présentait ce matin dans le cadre chaleureux de L’Esprit du 8, la très riche programmation de Sœurs jumelles 2024, aux côtés du fidèle Éric Debegue et du maire de Rochefort Hervé Blanché.
Julie a également accepté de répondre avec son enthousiasme sans faille et sa gentillesse habituelle à quelques questions Cin’Écrans supplémentaires…
LES CONCERTS SUR LA GRANDE SCÈNE DE LA CORDERIE ROYALE
LES CONCERTS CRÉATION
POUR EN SAVOIR +
Suivez-nous sur les pages réseaux sociaux Cin’Écrans, afin de vivre fin juin, les meilleurs moments de cette très prometteuse 4ème édition de Soeurs Jumelles.
En attendant, pour découvrir la programmation complète du festival 2024, rendez-vous sur le site officiel Soeurs Jumelles.
Vous y trouverez le détail, les horaires de toutes les rencontres artistiques, des concerts, des avant-premières et vous pourrez d’ores et déjà y réserver vos places…
Bienvenida, Bienvenue – Pessac 2024
La 34e édition du Festival international du film d’histoire de Pessac propose du 20 au 27 novembre la projection de 30 long-métrages en avant-première. 50 autres films et de nombreuses rencontres sont proposés cette année sur le thème « Espagne/Portugal ».
Festival du film de Sarlat. Dites 33 !
42 longs métrages et 13 courts métrages sont au programme de ce festival de Sarlat 2024. Une édition qui débutera le mardi 5 novembre avec la projection de l’adaptation très attendue du Prix Goncourt 2018 Leurs enfants après eux, par les frères Boukherma.
Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde – L’enfer au paradis…
Un récit de l’homophobie tristement ordinaire qui fait froid dans le dos.
Ce troisième long-métrage du cinéaste roumain Emanuel Pârvu a été récompensé en mai dernier à Cannes de la très méritée Queer Palm 2024.



