Et j’aime à la fureur. Et c’est le temps qui court, court…
Avec ce documentaire follement mélancolique, constitué d’images d’archives non professionnelles, André Bonzel signe une œuvre profondément personnelle, portée par une sublime BO de Benjamin Biolay. Un film en forme de déclaration d’amour au 7ème art et à ceux qui filment …