- « … On veut recréer du lien ! » -
C’est le 2 juin prochain que débutera la première édition du Festival du Film de Demain (FFD) initié par Louis-Julien Petit, Mathieu Bonnefond et Camille Carteret.
Cet événement sera notamment centré sur 3 journées de compétition avec des projections autour d’une sélection de neuf longs-métrages français impactant qui traitent de sujets aux enjeux sociétaux sélectionnés sans distinction du format de production ou de diffusion (Ciné, TV, plateformes).
Avec la création de ce nouveau festival, Louis-Julien Petit et ses complices ambitionnent de mettre la lumière sur des films et des cinéastes engagés, à l’image de ce que le réalisateur a pu faire lui-même avec des films comme DISCOUNT, CAROLE MATHIEU, LES INVISIBLES ou très récemment LA BRIGADE.
L’un des particularités du Festival du Film de Demain est de se tourner très fortement vers la jeunesse avec la création du FFD Challenge, un concours de court-métrage qui seront réalisés par des 15-25 ans, au cours du festival sur une thématique en écho avec l’actualité.
En attendant d’en savoir plus, très bientôt, sur la sélection des films et les personnalités qui composeront le jury en charge de décerner six grands prix, Louis-Julien Petit a accepté de nous en dire un peu plus sur ce festival et ce FFD Challenge qui suscitent déjà beaucoup d’envie et de gourmandise…
Le règne animal… ça fait mal !
Bientôt 10 ans que l’on attendait le nouveau film de Thomas Cailley après Les combattants, premier long-métrage brillant dont le souvenir reste très marquant. Avec Le règne animal, le réalisateur passe à la vitesse supérieure et signe un grand film d’auteur fantastique et populaire. Ne le laissez pas échapper.
Le procès Goldman, « le procès, rien que le procès… »
Cette 12e réalisation de Cédric Kahn est un (quasi) huis-clos oppressant et captivant dont on ressort sans avoir un avis tranché sur la question de l’innocence ou de la culpabilité de Pierre Goldman. Peu importe d’ailleurs, tant on a vibré pendant près de deux heures aux joutes oratoires mises en scène au plus près des principaux protagonistes du procès.
Poisson rouge – J’ai la mémoire qui flanche…
Avec la belle complicité de leurs comédiens principaux, les 3 réalisateurs de Poisson rouge réussissent à éviter le piège du mélo que laissait craindre son pitch. « Les copains d’abord » pour ce film de potes, en forme de road movie qui n’est pas sans rappeler certains longs métrages du duo Kervern/Delépine…